Un revenu du candidat socialiste

Hamon propose d’accorder un revenu d’existence de sept cent cinquante euros par mois sans aucune condition, particulièrement de revenu, doucement à l’ensemble de la communauté. Son coût annuel au final pourrait être de 800Mrds d’euros, ce qui représente les trois quarts des affectations publiques. Le revenu est suggéré par des spécialistes que plusieurs désigneraient de Thatchériens, régulièrement en l’annexant à une recette corrélatif au revenu pour le verser. Une charge générale au taux de 40 % pourrait par conséquent verser une dépense de 600 Mrds d’euros. Cette logique, salaire d’existence et une taxation relatif, certifierait, suivant ses promoteurs, un standing de vie minimal à tout Français également en l’encourageant à travailler plus que dans la méthode actuel. De fait, chaque euro complémentaire empoché par son labeur lui ramènerait 0.64 euros après taxation alors que, maintenant, il acquiert en net uniquement 0.41 € généralement, parce qu’il sent abaisser ses redevances sociales et accroître ses taxes et charges. Pour les fonctionnaires, ce salaire d’existence supplanterait un grand nombre des contributions sociales et des tâches publiques dont l’utilisation est individualisé. Tout Français percevrait le minimum primordial pour vivre, l’améliorerait par une charge professionnelle, le dépenserait pour des biens de son choix et se défendrait librement contre tous les risques, dont les persistants risques de santé. Le total des fournitures sociales atteignant quasiment 800Mrds d’euros, le revenu n’accentuerait donc pas les dépenses sociales et pourrait être financé sans amplifier les prélèvements obligatoires. Il faudrait néanmoins convertir certains de ceux-ci, notamment les cotisations, par une contribution sociale à 37 %. La nation cesserait d’ intercéder afin de produire des prescriptions aux ménages. Les portées de l’instauration d’un revenu sur l’efficience des sociétés, l’attractivité du lieu, le financement et l’emploi, ou davantage la fraude aux impôts et administrative, seraient désastreuses. Ce n’est clairement pas la vision d’Hamon, qui n’a pas exprimé la fin de prescriptions étatiques. On peut simplement deviner que le revenu d’existence commuterait les minima sociaux (soit 27 milliards €) et les attributions familiales (11 Milliards €), tout descendant y cédant droit, cependant ces économies ne substitueraient pas l’origine du problème : il faudrait majorer les impôsitions obligatoires d’à peu près 510 Milliards €, donc de 54.5 %. Les conséquences de la mise en place d’un « revenu universel d’existence » sur la compétitivité des entreprises, l’attractivité du territoire, l’engagement et l’responsabilité, ou aussi la fraude aux impôts et administrative, deviendraient effroyables.

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