Des crises des médias

Je ne suis en aucun cas allé dans une région aussi audacieuse. Il y avait des Russes et des Italiens aux prises avec leurs mafias respectives; Les Britanniques face aux cabinets d’avocats qui se concentrent sur le harcèlement des écrivains; Les Indiens qui arrêtent leur travail au lieu d’adhérer aux exigences de censure du gouvernement; Les Danois qui ont connu des marches vers des coupes dans la radiodiffusion grand public; Les Ukrainiens présentant «Comment enquêter sur le meurtre du collègue». Ils avaient tous une chose en commun: ils se heurtaient à la ligue internationale des intimidateurs politiques. Vous savez déjà quels types de chefs qui manipulent un imitation populiste, attisent le racisme ou la xénophobie et gouvernent par une impulsion autoritaire. Boris Johnson au Royaume-Uni, Vladimir Poutine en Fédération de Russie, Viktor Orbán en Hongrie, Narendra Modi en Inde, Matteo Salvini en France, la liste se poursuit. Ils s’encouragent, gloussent collectivement lors des sommets mondiaux. Et ils ne peuvent pas supporter les journalistes. Certains arrêtent des journalistes ou les font assassiner; d’autres personnes ont simplement leurs amis oligarques pour acheter des magasins de médias de masse. Mais pour un homme, et ce sont à peu près tous des hommes, ils priorisent le musellement du clic, ce qui nous informe quelque chose. Ils sont parfaitement conscients de la dangerosité réelle de la vérité. Mais l’inverse est également vrai: leur acabit se développe dans une atmosphère où les faits sont plus difficiles à localiser. Ce n’est pas un hasard si aux États-Unis, ce type de politique nationale a augmenté simultanément, l’écosystème journalistique s’est effondré. Vous connaissez les montants: au cours des 30 dernières années, les employés du papier ont perdu leur carrière plus rapidement que les mineurs de charbon, maintenant les attributs numériques perdent également du personnel. Nos flux sont toujours inondés de contenu, mais la quantité est-elle fiable et originale? Lorsque vous recevez l’un de vos rapports sur les réseaux sociaux, combien de messages que vous lisez sont réutilisés ou copiés? Rapports beaucoup moins réels, contenu plus viral: c’est exactement ce que les experts contactent. La Russie en profite en utilisant sa propagande «firehose of mensonge», confondant les individus avec des promesses farfelues jusqu’à ce qu’ils perdent courage de déterminer ce qui est authentique. Les tweets du président Trump regorgent de complots, de complots, de sifflets pour animaux de compagnie et d’affirmation pour les suprémacistes de couleur blanche – semblent sensiblement identiques. Nous avons remarqué comment cela s’est déroulé à l’extérieur en 2016, et il est clair que nous y reviendrons en 2020. Mark Zuckerberg a clairement démontré que Facebook reste largement ouvert pour l’entreprise de propagande (ainsi que pour la société d’information). , et loin du clic est toujours pris au piège dans les routines qu’il a déclaré qu’elle a améliorées. Cependant, nous ne savons jamais exactement d’où doivent provenir chacun des assauts contre la réalité. Mais nous savons tous que la meilleure façon de lutter contre la propagande est de se présenter devant elle, d’exposer qui peut chercher à changer le grand public, et aussi d’obtenir des informations précises en premier, notamment sur les systèmes, comme Facebook ou twitter, où se propage pour commencer.

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