Un sommet à Yaounde

Yaounde: une place stratégique

La majeure partie de la région du Cameroun actuel était gouvernée par des chefferies très efficaces avant de devenir une colonie allemande en 1884 appelée Kamerun. Peu de temps après la Première Guerre communautaire, le territoire a été séparé entre la France et les Britanniques selon les mandats de la Société des Nations. Le Cameroun français est devenu impartial en 1960 à cause de la République du Cameroun. Cette année, la section sud du Cameroun anglais voisin a voté pour le mélange en utilisant la nouvelle région pour former le gouvernement de la République du Cameroun. En 1972, une nouvelle constitution remplace la fédération à condition unitaire, la République-Unie du Cameroun. La terre a généralement aimé la stabilité, qui a entraîné le développement de l’agriculture, des rues et des chemins de fer, ainsi que d’un marché pétrolier. Même avec des mouvements lents vers un changement démocratique, l’énergie politique reste fermement à la disposition du directeur Paul BIYA. Le Cameroun, basé sur le marché, les capacités du climat économique diversifié gaz et gaz, bois, aluminium léger, agriculture, exploration ainsi que le domaine des services. Le pétrole reste le principal atout d’exportation du Cameroun et, malgré la chute des prix internationaux du pétrole, il représente néanmoins près de 40% des exportations. L’économie globale du Cameroun souffre de facteurs qui ont fréquemment un impact sur les pays sous-développés du monde entier, par exemple la stagnation des flux de trésorerie par habitant, une syndication des revenus comparativement inéquitable, une fonction publique très lourde, une corruption endémique, des inefficacités continues d’un grand système para-étatique en zones, ainsi qu’un climat normalement indésirable pour les entreprises. Compte tenu de 1990, le gouvernement fédéral s’est lancé dans divers programmes du FMI et des institutions bancaires communautaires conçus pour stimuler les dépenses des entreprises, accroître l’efficacité de l’agriculture, améliorer les affaires et recapitaliser les institutions financières du pays. Le FMI fait constamment pression pour des réformes économiques, qui incluent une visibilité accrue de la fourchette de prix, séminaire la privatisation et des applications de réduction de la pauvreté. Le gouvernement du Cameroun offre des subventions pour l’électricité, les produits alimentaires et le gaz qui ont tendu la fourchette de prix du gouvernement et détourné des ressources de la formation, des soins de santé et des projets d’infrastructure, car la réduction des coûts du pétrole a entraîné une baisse des revenus. Le Cameroun consacre des ressources substantielles à un certain nombre d’énormes projets de système en cours de construction, ainsi qu’un port maritime solide à Kribi et l’entreprise hydroélectrique de Lom Pangar. Le domaine de la vitalité du Cameroun se diversifie constamment, ouvrant récemment une centrale électrique entièrement naturelle fonctionnant à l’essence. Le Cameroun recherche constamment des dépenses inhabituelles pour renforcer son système inadéquat, créer des emplois et augmenter son empreinte monétaire, mais son environnement d’entreprise indésirable reste un frein substantiel aux investissements à l’étranger.

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