Qu’est-ce qu’un tsunami ? Un tsunami, (en japonais : « vague de port »), également appelé influx océanique sismique ou influx de marée, est en fait une vague océanique catastrophique, généralement causée par un tremblement de terre sous-marin, un glissement de terrain sous l’eau ou au bord de la mer, ou peut-être une éruption volcanique. Le terme raz de marée est souvent utilisé pour ce type d’afflux, mais c’est un terme impropre, car votre influx n’a aucun rapport avec les marées. Juste après un tremblement de terre ou une autre impulsion génératrice, un train d’ondes oscillatoires faciles et modernes se propage sur d’excellentes plages à la surface de l’océan en groupes de plus en plus larges, similaires aux vagues créées par un caillou tombant directement dans une piscine peu profonde. Dans l’eau potable profonde, un tsunami peut parcourir jusqu’à 800 km (500 miles) par heure. Les longueurs d’onde sont énormes, dépassant parfois 500 km (environ 310 miles), mais les amplitudes des vagues (niveaux) sont très faibles, seulement environ 30 à 60 cm (1 à 2 pieds). Les périodes des vagues (la durée pendant laquelle les crêtes ou les creux suivants passent par un seul point) sont extrêmement longues, allant de 5 minutes à plus d’une heure. Ces longues périodes, ainsi que la pente et l’élévation extrêmement faibles des vagues, leur permettent d’être totalement obscurcies dans les eaux potables profondes par les vagues et la houle normales. Un navire en haute mer expérimente le passage du tsunami comme une montée et une descente sans importance de seulement un demi-mètre (1,6 pied), d’une durée de cinq minutes à une heure ou plus. Parce que les vagues se dirigent vers la côte du continent, cependant, le frottement avec la base montante de l’océan diminue la vitesse du surf. Au fur et à mesure que la vitesse diminue, les longueurs d’onde se raccourcissent et les amplitudes (niveaux) d’afflux s’améliorent. Les mers en bord de mer pourraient augmenter jusqu’à 30 mètres (environ 100 pieds) au-dessus du degré océanique normal en 10 à 15 minutes. Les mers du plateau continental commencent à osciller suite à l’augmentation du niveau des océans. Entre 3 et cinq oscillations majeures génèrent la majorité des dommages, se manifestant fréquemment par des « élans » efficaces d’eau potable qui déracinent les arbres et les arbustes, arrachent les bâtiments de leurs fondations, transportent les bateaux de manière significative vers la côte et emportent des plages entières, péninsules et autres formations balnéaires de faible altitude. Souvent, l’eau de sortie suivante est tout aussi dommageable que le fonctionnement, voire plus. Quoi qu’il en soit, les oscillations peuvent durer plusieurs jours jusqu’à ce que la surface de l’océan atteigne la stabilité. Tout comme toutes les autres vagues d’eau potable, les tsunamis sont démontrés et réfractés par la topographie du fond marin près du rivage et également par la configuration du littoral. Par conséquent, leurs effets varient largement d’un endroit à l’autre. Parfois, la première apparition d’un tsunami sur un littoral peut être le creux de la vague, auquel cas l’eau se retire et révèle le fond marin peu profond. Ce type d’incident s’est produit dans la baie de Lisbonne, au Portugal, le 1er novembre 1755, à la suite d’un grand tremblement de terre ; de nombreux individus curieux ont été attirés par le fond de la baie, et beaucoup d’entre eux ont péri à cause de la crête d’afflux qui a mis en place le creux quelques minutes plus tard. Les tsunamis les plus dévastateurs de l’Antiquité se sont probablement produits dans la mer Méditerranée orientale le 21 juillet 365 de notre ère. Un glissement de faille dans la zone de subduction sous l’île tropicale de Crète a produit un tremblement de terre d’une magnitude estimée de 8 à 8,5, qui était suffisamment puissant pour élever des zones du 3e ouest traditionnel de l’île tropicale jusqu’à 10 mètres (33 pieds) . Le tremblement de terre a engendré un tsunami qui a fait des dizaines de milliers de morts et causé des dommages répandus dans toute la Méditerranée, des îles de la mer Égée à l’ouest jusqu’à la côte de l’Espagne actuelle. Les vagues du tsunami ont forcé les navires plus que les murs du port et la toiture des maisons à Alexandrie, en Égypte, tout en détruisant les terres cultivées à proximité en les inondant d’eau salée.
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