Google a été ces jours-ci racheté par le chien de garde monopole français pour débourser un montant de 150 millions d’euros acceptable pour avoir abusé de sa « place dominante sur le marché de la publicité et du marketing de référence ». L’Autorité de la concurrence de la nation européenne a critiqué les « directives opaques et difficiles à comprendre » du géant du site Web américain, qui sont appliquées « de manière injuste et aléatoire » dans son programme de publicité sur Internet. En conséquence, votre régulateur de la concurrence a infligé une amende à Yahoo et l’a achetée pour expliquer ses conditions et modalités, en particulier ses processus de suspension de comptes. Le corp des États-Unis dispose également de soixante jours pour générer un rapport décrivant les méthodes qu’il faudra pour se conformer à la transaction, et une demi-année pour fournir un autre dossier vérifiant ce qu’il pourrait précisément appliquer. Il doit également publier la décision sur son site Search Engineers.fr, et Google.com lors d’un accès en France, pendant une semaine seulement. Le grand, incidemment, est inférieur à un pour cent des bénéfices de 30,7 milliards de dollars de Yahoo-parent Alphabet en 2018. Cela provient d’une plainte déposée il y a 4 ans contre le chien de garde par une tenue française connue sous le nom de Gibmedia, qui, entre autres, a fait du jogging site Web de prévision du climat. Yahoo a accusé Gibmedia de travailler AdWords (maintenant Yahoo Advertising) pour le site Web qui aurait incité les internautes à souscrire à des services professionnels sans que les frais et conditions d’abonnement ne soient clairs. En conséquence, Gibmedia a été jeté loin de Google sur la plate-forme d’affichage Web. En réaction, le biz français s’est plaint qu’il avait été injustement démarré de façon inattendue. Possédant une critique, les organismes gouvernementaux français ont convenu que Google appliquait ses TAndC de manière incohérente, et ont fait valoir que ce n’était tout simplement pas parfait pour le Web dans son ensemble – le fait que le titan de la Silicon Valley gère environ neuf recherches sur Internet sur 10 en France et quatre loin de cinq dans le monde. Yahoo a déclaré que cela séduirait le jugement. « Les gens s’attendent à être protégés contre les publicités exploitantes et abusives et c’est exactement ce que nos plans de marketing sont pour », a déclaré un porte-parole au Registre. « Gibmedia exploitait des publicités pour des sites Web qui induisaient les individus à payer pour des services sur une terminologie de paiement pas claire. Perform n’a pas besoin de la plupart de ces publicités sur nos systèmes, nous avons donc suspendu Gibmedia et abandonné les revenus marketing pour protéger les clients contre les dommages. Nous ferons appel de cette sélection. »
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